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Le Premier ministre rend hommage aux policiers tués dans l’exercice de leur fonction et remet des kits scolaires à leurs enfants

  • Photo du rédacteur: Amitié FM
    Amitié FM
  • 4 oct.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 5 oct.

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Lors d’une cérémonie à la DGPNH, le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé a honoré les policiers tués et offert des kits scolaires à leurs enfants.






Le Premier ministre, Alix Didier Fils-Aimé, a présidé ce samedi 4 octobre une cérémonie d’hommage en mémoire des policiers tombés dans l’exercice de leur fonction. L’événement, marqué par une profonde émotion, s’est déroulé à la Direction Générale de la Police Nationale d’Haïti (DGPNH) en présence du Directeur général a.i. de la PNH, Jonas André Vladimir Paraison, et du Directeur de Cabinet du chef du Gouvernement, Me Axène Joseph.


Dans son discours, le Premier ministre a salué « le courage et le dévouement de ces héros anonymes qui ont payé de leur vie pour défendre la nation ». Il a réitéré la détermination du Gouvernement à accompagner les familles des policiers victimes, soulignant que « l’État ne peut pas tourner le dos à ceux qui ont donné leur vie pour le pays ».


À l’occasion de la rentrée académique 2025-2026, M. Fils-Aimé a remis symboliquement des kits scolaires aux enfants des policiers disparus. Ce geste, a-t-il déclaré, « traduit le devoir moral et républicain de l’État envers les familles de ceux qui ont tout sacrifié pour la paix ».


Le Premier ministre a également rappelé que l’éducation demeure la plus belle manière d’honorer la mémoire des policiers tombés. « Les enfants de nos héros doivent pouvoir rêver, apprendre et grandir dans la dignité. Leur avenir est une promesse que la République doit tenir », a-t-il affirmé.


De son côté, le Directeur général a.i. de la PNH, Jonas André Vladimir Paraison, a salué cette initiative qu’il qualifie de « premier pas concret vers une politique durable de soutien aux familles des policiers victimes ».


M. Fils-Aimé a lancé un appel à l’unité nationale et à la solidarité face au défi de l’insécurité. « Batay kont ensekirite a se pa sèlman yon kesyon zam, se kesyon jistis ak solidarite », a-t-il martelé, invitant chaque citoyen à contribuer à la construction d’une Haïti plus sûre et plus humaine.


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PLR

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