De manière inattendue, le Conseil présidentiel de transition (CPT) a connu un bouleversement qui a perturbé l'organisation prévue de sa présidence. Au lieu de prendre la relève d'Edgard Leblanc Fils à l'issue de son mandat de cinq mois, Fritz Alphonse Jean a renoncé à son tour de rôle. Il a préféré passer le flambeau à Smith Augustin, dans le but d'augmenter de quatre à cinq le nombre de présidents en rotation.
Cette manœuvre a élevé Smith Augustin, choisi par l'alliance EDE-RED et le Compromis historique, à la position de deuxième président après Edgard Leblanc Fils, suivi par Leslie Voltaire et Louis Gérald Gilles, ce dernier bénéficiant d'un mandat étendu à six mois.
Cette situation a obligé à revoir les documents officiels du CPT pour tenir compte des difficultés liées aux divergences entre les groupes et à la complexité de la nomination d'un Premier ministre de transition. Cette tâche est rendue encore plus difficile par la présence de multiples candidatures au poste de Premier ministre venant du même secteur, compliquant le processus de choix.
Confronté à ces défis, le CPT se prépare à examiner attentivement les candidatures pour le poste de Premier ministre, cherchant à surmonter ces obstacles organisationnels et politiques.
PLR
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