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Scandale BNC: Sorel Jacinthe exige la démission pure et simple des conseillers indexés

  • Photo du rédacteur: Amitié FM
    Amitié FM
  • 6 oct. 2024
  • 2 min de lecture
Photo crédit : Juno7

Dans une interview à Amitié FM, l'ancien sénateur Sorel Jacinthe a exprimé des préoccupations majeures concernant une résolution prise par le Conseil Présidentiel de Transition (CPT), visant à modifier celle du 7 mai 2024, relative à la prise des grandes décisions au sein du CPT, impliquant trois conseillers accusés de corruption. Il a appelé à la démission immédiate de ces conseillers, à savoir Smith Augustin, Emmanuel Vertilaire et Louis Gérald Gilles accusés de corruption par l'Unité de Lutte Contre la Corruption.


M. Jacinthe a insisté sur le fait qu'Edgard Leblanc Fils, le président du CPT, devrait continuer à siéger en attendant une résolution de la crise. Il a critiqué la position de Lesly Voltaire, qui, selon lui, soutient les conseillers impliqués et les encourage à ne pas démissionner. Cette position soulève des doutes sur l'éventuelle implication de Fanmi Lavalas, dont Voltaire est le représentant.


L’ancien sénateur a posé des questions provocatrices : "Sommes-nous des sauvages ? Sommes-nous confortables dans la corruption jusqu'à n'éprouver aucun besoin de nous en délivrer, malgré la véracité des faits relevés par l'ULCC dans son rapport ?". Selon lui tant que la justice n'a pas statué sur le sort des conseillers indexés, les autres membres du CPT ne devraient pas siéger à leurs côtés.


Jacinthe a proposé des actions concrètes pour les conseillers restants : Ne pas siéger aux côtés des conseillers accusés; Trouver des remplaçants pour ces conseillers; Réfléchir aux mesures à prendre pour remédier à la situation.


Il a qualifié la résolution en question de "rumeur" et a affirmé qu’en tant que signataire de l'Accord du 21 décembre, il n'était plus associé à Louis Gérald Gilles au sein du CPT, affirmant que Gilles ne représentait plus cet accord.


Jacinthe a précisé que la décision d'évincer Gilles et les autres conseillers corrompus est strictement administrative et incombe aux conseillers restants.


De son côté, Edgard Leblanc Fils a récemment déclaré qu'il n’a pas validé la résolution controversée, accentuant ainsi sur les divisions internes du CPT sur la gestion de cette affaire.

PLR

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