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Quatre ans après l’assassinat de Jovenel Moïse, l’ex-Premier ministre Claude Joseph pointe certaines figures du secteur privé des affaires

  • Photo du rédacteur: Jeff Rinvilien
    Jeff Rinvilien
  • 28 juin
  • 1 min de lecture
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À l'approche du quatrième anniversaire de l'assassinat du président Jovenel Moïse (6-7 juillet 2021), l'ancien Premier ministre haïtien Claude Joseph a été entendu par la cour d'appel de Port-au-Prince.


Mis en cause dans cette enquête judiciaire sensible, Joseph a catégoriquement nié toute implication, affirmant son innocence totale.


Devant les magistrats, il a pressé la justice de cibler les véritables auteurs intellectuels de ce crime.


"Aucun élément de preuve ne m'implique", a-t-il martelé. Joseph dénonce des dérives judiciaires visant, selon lui, à protéger les instigateurs réels et à instrumentaliser la justice à des fins politiques.


Il accuse sans les nommer des figures du secteur privé des affaires, soutenues par des acteurs politiques, d'avoir orchestré l'assassinat pour défendre des intérêts économiques et personnels.


Un vaste réseau de complices resterait hors de portée de la justice, affirme-t-il.


Malgré des arrestations, l'enquête piétine, alimentant les critiques sur une justice sélective entravée par des pressions.


La société haïtienne déplore un manque de volonté politique et un système judiciaire en faillite.


Quatre ans après, la non-résolution de ce crime emblématique souligne les profondes failles de la justice haïtienne et alimente les inquiétudes sur l'impunité généralisée.

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Fritz Laventure

 
 
 

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