Pour sauver l'éducation en Haïti, Alix Didier Fils-Aimé passe des instructions fermes au MENFP et au FNE

Le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé a ordonné des mesures concrètes pour répondre à la crise éducative en Haïti. Il a exigé du ministre de l’Éducation nationale, Antoine Augustin, et de la directrice du Fonds de l’Éducation Nationale (FNE), Sterline Civil, qu’ils engagent sans délai une évaluation des écoles et universités détruites par la violence des gangs armés. Cette évaluation devra être suivie d’un plan de réhabilitation pour permettre aux élèves et étudiants de retrouver un cadre d’apprentissage stable.

Au-delà de la reconstruction des infrastructures, le chef du gouvernement attend aussi la mise en place de programmes de subvention et d’appuis financiers pour les établissements touchés et les élèves les plus vulnérables. Il a clairement indiqué que « l’éducation reste une priorité du Gouvernement » et que des actions concrètes doivent être entreprises immédiatement pour éviter une aggravation de la situation.

Alix Didier Fils-Aimé a également insisté sur la nécessité de préparer la jeunesse aux défis technologiques de demain. Il a ordonné l’octroi de bourses d’études dans les nouvelles technologies, notamment dans le domaine de l’intelligence artificielle, afin de donner aux jeunes haïtiens des opportunités d’avenir. Pour lui, l’accès à une éducation moderne et adaptée est une nécessité absolue.

Par cette initiative, le Premier ministre place les autorités éducatives face à leurs responsabilités. Il attend des résultats rapides et concrets pour assurer la continuité de l’enseignement et offrir aux jeunes haïtiens des perspectives d’avenir malgré les défis actuels.

PLR