Les États-Unis et le Royaume-Uni ont décidé de ne pas signer la déclaration sur une intelligence artificielle éthique, qui a été adoptée lors du Sommet sur l'IA à Paris

En revanche, environ soixante autres nations, dont le Canada, la Chine, la France et l'Union européenne, ont soutenu ce texte.

Elles ont exprimé leur volonté de renforcer la coordination dans la gouvernance de l'IA et ont plaidé pour éviter une concentration excessive du marché afin de rendre cette technologie plus accessible.

De son côté, le vice-président américain J.D. Vance a défendu la position des États-Unis, avertissant contre le risque d'une régulation trop stricte.

L'Inde sera le pays hôte du prochain sommet sur l'IA.

Fritz Laventure